Dans toute discipline sportive, le travail physique est une étape déterminante lors d’une préparation en début de saison. Il permet à la fois d’améliorer ses performances et de réduire les risques de blessure. Pour le mener à bien, chaque pratiquant pourra choisir parmi divers exercices en fonction de ses objectifs.
La course fait notamment partie des activités sportives les plus communes. Pour un footballeur, voici quelques astuces pour y procéder correctement.
Quand commencer sa préparation ?
L’une des questions les plus importantes auxquelles il faudra prêter une grande attention réside dans la programmation de l’entraînement. Cette préparation devrait être réalisée au plus tard 5 semaines avant la première rencontre de foot de la saison. De cette manière, il sera possible de profiter du temps nécessaire pour se renforcer les muscles. Cela permettra également d’améliorer sa vitesse et son endurance.
Par rapport à la fréquence de la préparation, il est recommandé de réaliser au moins trois sessions hebdomadaires d’activités physiques.
Au cours de celles-ci, le footballeur peut s’exercer de temps en temps avec le ballon s’il le souhaite. Cependant, avec cette méthode, la finalité de l’entraînement change de ce qui devait en principe l’être.
La balle au pied, plus la vitesse augmente, plus le sportif s’écarte du cadre de l’entraînement physique.
En effet, la préparation devient plutôt axée sur l’aspect technique. D’ailleurs, pour un travail d’endurance fondamentale, les phases sans ballon (suivi de parcours, entre autres) s’avèrent plus plaisantes. Tourner sur le terrain avec le ballon risquerait de nuire au caractère ludique des exercices.
Par ailleurs, après une certaine période de travail intense, la prise d’un repos total est indispensable. Pour autant, il est préconisé de ne pas demeurer inactif pendant plus d’une semaine complète.
Course à pied ou à vélo ?
Pour son entraînement, le footballeur pourra utiliser une bicyclette s’il le souhaite. Comparé à la course à pied, celle à vélo est connue pour occasionner moins de blessures. En effet, il s’agit d’un exercice autoporté qui préserve le pratiquant des chocs au sol. Autrement dit, elle est recommandée aux individus qui renouent avec le sport après une période d’inactivité.
Pour s’y préparer, nous avons listé sur agoride les accessoires minimums requis pour la pratique du vélo. Ensuite, il faut néanmoins savoir que les meilleurs résultats sont obtenus en alternant course à vélo et à pied. À intensité de travail similaire, bien qu’elle soit traumatisante, cette deuxième option permet de brûler plus de calories.
Ce qui favorise plus rapidement la perte de graisses après les vacances pendant lesquelles le sportif gagne souvent quelques kilos.
Puisqu’en course à pied, l’on recourt davantage au cœur qu’en vélo. De plus, les muscles sont plus sollicités en jogging qu’en pédalant. Pour un meilleur gain en tonus musculaire, la bicyclette apparaît donc moins bénéfique.
Des programmes spéciaux en fonction des résultats attendus
Pour chaque type d’entraînement, la manière de procéder joue grandement dans les avantages procurés. Pour améliorer sa vitesse, certains experts recommandent d’inclure des sprints en côte à la fin du programme. Cela permet de donner plus de puissance à la technique de course.
Ainsi, le sportif pourra suivre les rythmes d’entraînement des plus grands footballeurs qui font l’objet de paris sur betway.
En effet, ces activités modifient un footing classique en une association de renforcement musculaire et de cardio. En ce sens, faire du travail sur gradins ou sur escaliers est envisageable, accompagné ou non de résistance. Il en est de même pour la course à pied en descente, et ce, afin d’arriver à une sur-vitesse.
La spécialiste au sein d’Adidas, Sascha Wingenfeld, conseille une course en côte sur approximativement 150 m. Ceci, pendant six à dix fois, et suivant une intensité de 95-90 % de l’effort maximum du footballeur. Durant cet exercice, elle préconise de réaliser de puissantes et longues foulées. Le tout, avec un tronc à la fois stable, mais aussi fort.
Quelques points à considérer pour les sportives en période de menstruation
Pour les sportives en période de menstruation, certaines précautions sont à prendre en compte pour courir en toute aise. En premier lieu, le maintien d’une bonne nutrition constitue une règle à observer pour apaiser les douleurs éventuelles. Du fait de sa forte teneur en magnésium, le chocolat peut contribuer à la diminution de ces dernières. Toutefois, sa consommation doit toujours se faire avec modération.
Engendrant une sensibilité des seins, les aliments salés sont en outre à éviter. Autre conseil à suivre : se vêtir confortablement en s’abstenant de porter des jeans serrés ou les tenues moulants. Enfin, la prise d’un bain chaud figure parmi les plus efficaces astuces ne demandant aucun médicament. Dans un autre registre, la culotte menstruelle permet de s’entraîner commodément.
Concernant les accessoires, la culotte menstruelle permet de s’entraîner commodément. Utilisée comme alternative aux tampons et aux serviettes protectrices, elle renvoie à une protection et un sous-vêtement, dédiés aux femmes. Ce dispositif, qui peut être réutilisé plusieurs fois après lavage, est exempt de tout produit chimique. Par conséquent, il ne risque pas d’occasionner des effets nocifs pour le corps.