Le vélo électrique est depuis quelques années déjà un moyen de transport très apprécié des Français, en particulier des citadins. Et comme tous les objets qui connaissent un franc succès, il vient avec son lot d’avantages basés sur de vraies informations et ses idées reçues.
Alors pour ceux qui hésitent encore et qui ne savent plus ce qu’ils doivent croire ou pas, nous avons préparé un article qui regroupe tous les avantages de rouler en VAE et toutes les idées reçues.
Véritables infos et avantages du vélo électrique
En ville, c’est le moyen de transport le plus rapide
Étant donné que la vitesse moyenne d’un véhicule lorsqu’il se déplace en ville est de 15 km/h, le VAE devient donc le mode de déplacement le plus rapide sur les petits trajets de proximité ou en porte à porte. De plus, grâce aux voies cyclables, le vélo peut désormais passer partout et plus facilement qu’en automobile.
Enfin, lorsque l’on se déplace en velo electrique lyon, à Paris ou dans n’importe quelle autre grande ville française, on devient maître de son trajet et de son temps, qu’importe l’heure, la météo ou le jour de la semaine, des éléments qui sont absolument à prendre en compte en voiture ou en transport en commun.
Ça donne le sourire !
Prendre son vélo électrique pour se rendre sur son lieu de travail ou se balader rend plus heureux et réduit le stress. Le fait que ce soit un mode de déplacement actif et qui dépend de nous et non des autres favorise la bonne humeur et le bien-être.
C’est bon pour la santé
En plus de mettre nos réflexes et nos sens en alerte dès le matin, se déplacer en VAE revient à pratiquer une activité physique, car cela va stimuler le système cardio-vasculaire et solliciter de nombreux muscles.
Et pour preuve, une étude menée en 2018 par des chercheurs de l’Université de Bâle a démontré qu’en plus d’améliorer la condition physique des participants, à distances égales et à fréquence égale par semaine, les cyclistes sur vélo électrique avaient tendance à pédaler à des niveaux plus élevés et plus vite que ceux qui se déplaçaient en vélo traditionnel.
Une autre étude a montré que les automobilistes ayant décidé de délaisser leur voiture au profit d’un vélo se sentaient en meilleure santé après une année.
Et en plus du côté purement physique, le vélo, qu’il soit électrique ou non est certainement le mode de transport le plus convivial : combien de discussion on étés menées aux feux rouges ou combien de sourires et de regards ont étés échangés entre cyclistes ? Contrairement à l’ignorance totale qui règne dans les bus ou les métros…
Aucun équipement spécifique n’est requis
Certes, il est vivement recommandé de se procurer un antivol et un casque par mesure de sécurité, mais aucun autre accessoire n’est nécessaire. Grâce au VAE, il est donc possible de se rendre sur son lieu de travail ou se déplacer en tenue de ville ou du quotidien et surtout sans dégouliner de sueur.
C’est moins accidentogène
Avec le développement des infrastructures adaptées ces dernières années et la sensibilisation au port du casque, le vélo est devenu le mode de déplacement le plus sûr en ville comparé aux voitures et aux bus.
Les idées reçues sur les VAE
Il pédale tout seul : c’est faux !
C’est certainement l’idée reçue la plus répandue en ce qui concerne l’utilisation du VAE. En effet, ce n’est pas comme une moto et il ne suffit pas de le démarrer pour avancer. Le vélo électrique est avant tout un vélo, constitué de pédales, d’une chaîne, etc., ainsi que d’une assistance électrique pour aider le cycliste.
Cette assistance fonctionne grâce à de petits capteurs plus ou moins intelligents selon les modèles et la technologie, et qui vont mesurer l’effort fourni par l’utilisateur. Plus le cycliste pédale et plus il aura d’assistance, en revanche, moins il pédale et moins il aura d’aide.
C’est pour les fainéants et les personnes âgées : c’est encore faux !
L’effort que va fournir le cycliste sur un vélo doté d’une assistance électrique est certes moins intense que celui qui utilise un vélo traditionnel, mais on ne parle pas non plus d’un deux-roues motorisé et il y a un minimum d’effort physique à fournir, comme nous le disions précédemment.
Et si l’on se base sur les chiffres, les premiers utilisateurs de VAE sont d’abord les jeunes actifs et les personnes dynamiques, puis ensuite les seniors qui souhaitent continuer à pratiquer une activité sportive ludique et peu contraignante. De plus, c’est une pratique qui va permettre de réaliser des trajets plus longs que ceux qui auraient pu être entrepris avec un vélo traditionnel.
L’autonomie lui fait défaut : faux !
Contrairement aux tout premiers modèles qui sont sortis à ses débuts, aujourd’hui, l’industrie du VAE a relativement évoluée et offre une technologie beaucoup plus performante et fiable sur plusieurs points et surtout sur l’autonomie de la batterie.
On peut trouver sur le marché des vélos dont l’autonomie varie entre 30 et 200 kilomètres. Bien entendu, elle dépend du type de la batterie en elle-même, du niveau de l’assistance, du poids de l’utilisateur, de la pression des pneus, etc.
Il nécessite une immatriculation, une carte grise et un casque : toujours faux !
De manière simple, le VAE n’a besoin de manière obligatoire d’aucun de ces éléments. En revanche, le port du casque, que ce soit pour les vélos classiques ou électriques est toujours très vivement conseillé. En ce qui concerne les assurances, elles sont optionnelles, mais recommandées et de nombreux fabricants et assureurs la proposent.
On risque plus de se faire voler un vélo électrique qu’un modèle classique : c’est faux !
Il est important de noter que ce qui attire les voleurs de vélos, que ce soit les VAE ou les classiques neufs, c’est la manière dont ceux-ci sont sécurisés. En retirant la batterie et en attachant bien son VAE, le risque de vol n’est donc pas plus élevé.